
Dans cette toute petite série estivale, nous allons nous amuser à détester l’été, les touristes (et puis l’humanité, tant qu’à faire).
Observez ce visage dont la jovialité monacale contrasteavec le poussin mort broyé par la main l'écrivain.Ce sont les Chroniques de la haine ordinaire.
Aujourd’hui, une chronique de la haine ordinaire de l’immense Pierre Desproges (1939 – 1988, on ne s’en remet toujours pas). Pierre Desproges, ce serait un Dušan Radović (1922-1984) qui serait méchant, et c'est bien.
Nouvelle édition, intégrale, du...
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